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Violence Conjugale

Est-ce que la perception de la population de Santa-Cruz concernant la violence conjugale a évolué au fil du temps ?

 
A : LA VIOLENCE CONJUGALE DES FEMMES DANS NOTRE ENVIRONEMENT :Le sujet de la violence à l'égard des femmes est trop vaste et la différence entrele pourcentage de violence reçu par les hommes et les femmes est élevée, lesfemmes sont plus victimes de violence et il y a beaucoup plus

Le sujet de la violence à l'égard des femmes est trop vaste et la différence entre
le pourcentage de violence reçu par les hommes et les femmes est élevée, les
femmes sont plus victimes de violence et il y a beaucoup plus à dire.

 

Le sujet de la violence à l'égard des femmes est trop vaste et la différence entre
le pourcentage de violence reçu par les hommes et les femmes est élevée, les
femmes sont plus victimes de violence et il y a beaucoup plus à dire.

 

Le sujet de la violence à l'égard des femmes est trop vaste et la différence entre
le pourcentage de violence reçu par les hommes et les femmes est élevée, les
femmes sont plus victimes de violence et il y a beaucoup plus à dire.

 I: La violence conjugale des femmes dans notre environement 

 


Le sujet de la violence à l'égard des femmes est trop vaste et la différence entre le pourcentage de violence reçu par les hommes et les femmes est élevée, les femmes sont plus victimes de violence et il y a beaucoup plus à dire.

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci sont des diagrammes circulaires d’une enquête réalise en 2015 et la même en 2017 en Bolivie par CIUDADANA/CONEXION dans la quelle ils ont consulté le degré d’accord ou de désaccord avec l’affirmation suivante : "les hommes ont la responsabilité de contrôler le bon comportement de leur partenaire", selon une échelle de préférence comportant 4 options : fortement en désaccord, en désaccord, d'accord et tout à fait d'accord. Plus de la moitié des personnes consultées dans les deux enquêtes - hommes et femmes d'âges lointains et zones de résidence éloignées - valident le contrôle exercé par les hommes pour garantir le "bon" comportement des femmes (57% en 2015 et 66,4% en 2017), rendant compte de la prédominance des valeurs conservatrices et patriarcales dans notre société, chez au moins 6 personnes sur 10. En outre, il est à noter que ces deux dernières années, cette mentalité machiste a étendu son influence de près de 10 points de pourcentage, la plus alarmante étant que la plus forte augmentation a eu lieu dans la variable très en accord, avec plus de 8 points par rapport à 2015, ainsi que la diminution de près de 6 points chez ceux qui expriment leur désaccord avec cette notion.


 

Ceci sont les résultatsd’une enquête réalise en 2017 en Bolivie par CIUDADANA/CONEXION dans la quelle ils ont consulté le degré d’accord ou de désaccord par sex avec l’affirmation suivante : "les hommes ont la responsabilité de contrôler le bon comportement de leur partenaire", Parmi les hommes, 7 sur 10 expriment leur accord (73,81%), contre 59,26% de femmes, pourcentage qui, bien que plus petit, confirme l'adhésion majoritaire des femmes à cette idée.

Enfin, les tendances analysées montrent clairement la portée du défi, qui découle sans doute d’un changement culturel profond, capable de faire face à la mentalité conservatrice et machiste de vastes racines sociales et qui constitue le meilleur exemple de violence symbolique, naturalise la condition de subordination féminine et légitime donc les diverses expressions de violence directe et structurelle qui sont exercées contre les femmes.

 

II: LA VIOLENCE CONJUGALE Dans notre departement 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci est un graphique de l’institution nation d’statistique de Bolivie le quelle nous montre les résultats d’une enquête de prévalence et caractéristique de la violence contre la femme réalise en 2016 .Selon le tableau de l'institution statistiquequi nous montre une enquête sur la prévalence et la caractérisation de la violence à l'égard des femmes en 2016, nous sommes amenés à nier que Santa Cruz soit l'avant-dernière département qui subit ce type de violence avec 36,1 points de la violence, ce qui est un avantage pour notre département dans la mesure où il ne souffre pas autant que les autres départements ainsi que de la Paz, mais il reste un indicateur négatif car il nous montre qu'il existe une quantité égale de violence dans notre pays. Cela nous montre que notre population a une énorme quantité de violence entre les conjoints ce qui est un relutta négative et préoccupent pour le pais.

 

III: PRINCIPALES CIRCONSTANCE DANS LAQUELLE LES HOMMES FRAPENT LEURS FEMMES, PAR SEXE 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci est un graphique des résultats d’une enquête de CIUDADANIA/CONEXIONréalise en 2017 qui montre les principales circonstances pour la quelle les hommes frapes leur conjoint, selon le sex en Bolivie. Afin d'élargir l'identification et la compréhension des principales représentations socioculturelles autour de la violence de genre, nous avons examiné ses déclencheurs. Les résultats montrent que les réponses sont concentrées dans 4 des 9 options. L'option "est ivre ou droguée" est celle qui a la plus grande adhésion, 43% chez les hommes et 38% chez les femmes. La deuxième place correspond à "est jaloux" qui regroupe 20% de l'opinion masculine et 22% de l'opinion féminine. La troisième option correspond à "est macho" avec 15% des réponses des hommes et 20% des femmes, enfin, à la quatrième place, avec des pourcentages autour de 10%, l'option "est infidèle".


IV: RAISONS POR LAQUELLE LES FEMMES SUPORTENT LA VIOLENCE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci est un diagramme circulaire des résultats d’une enquête de CIUDADANIA/CONEXION réalise en 2017 qui montre les différentes raisons pour la quelles les femmes supportent la violence en Bolivie. Enfin, il est essentiel de recueillir les perceptions sur les raisons pour lesquelles les femmes subissent les abus et l'agression physique dans leur relation. Un imaginaire social répandu qui exprime des conditions sociales, mais aussi culturelles, objectives, est lié au rôle de la femme en tant que mère et au principal responsable du bien-être de ses enfants. C’est précisément ce qui est à l’origine de la réponse « qu’elles endurent pour leurs enfants », ce qui représente les pourcentages les plus élevés, à la fois chez les hommes (29%) et selon le tiers des femmes (35%).

L’option « faible estime de soi » revêt un caractère plus subjectif, avec 19% d’hommes et de femmes. La troisième place est la réponse « peur de la solitude », 13% des hommes et 15% des femmes se sont alignés après cette option. Les deux réponses montrent certains aspects clés de la socialisation générique des femmes, liés au stéréotype féminin de dépendance, de faiblesse et de soumission. La dernière option, avec un pourcentage supérieur à 10 points, correspond à la "dépendance économique", qui correspond à 13% chez les deux sexes, exprime les limitations structurelles et les inconvénients objectifs imposés par la division sexuelle du travail des femmes.

Pour résumer, nous soulignons que le point le plus remarquable de cette section est que les scores de ceux qui considèrent qu'il est valable pour les hommes de décider si leur partenaire peut fréquenter leur famille ou leurs amis sont généralement faibles, bien que les scores soient supérieurs chez les hommes. . Même plus bas est le niveau d'accord avec la consultation sur le point de savoir s'il est parfois justifié que l'homme frappe son partenaire, mais la question suivante est plus spécifique, car elle met en évidence certaines causes qui justifieraient le recours à la violence. , des pourcentages significatifs sont recueillis: 4 hommes sur 10 et un tiers des femmes estiment qu’il existe des raisons qui militent en faveur du recours à la violence.

 

V: comparaison avec la France :

 

                                 

Le but de comparer les statistique avec la France est de montrer comment    

l´éducation et la culture

peuvent faire diminuer les taux de violence.

Même si le taux de violence conjugale en France est élevé, il en existe moins en France que en Bolivie.

Si nous comparons ces statistiques avec celles d'un pays développé comme la France, nous pouvons constater que quels que soient la culture ou le niveau d'éducation, la violence reste forte dans le monde entier et c'est ce que cela nous montre que cela n'a pas d'importance.